Exigez des distributeurs automatiques de produits Fair Trade

Sur votre lieu de travail vous pouvez manger et boire des produits sains, de qualité, en étant sûr qu'une bonne partie du profit reviendra au petit producteur et à sa famille : il suffit d'avoir à sa disposition des distributeurs automatiques de produits "Fair trade".



Bon nombre d'entreprises ont déjà franchi le pas. Ce sont les écoles en premier qui doivent montrer l'exemple ; pourquoi se plaindre de l'obésité galopante chez les étudiants, et dans le même temps ne rien faire pour leur proposer une alternative aux boissons extra-sucrées.

La réponse est simple et pitoyable : la marge bénéficaire de l'établissement est moins grande pour les produits "Fair trade" que pour les produits de grandes marques. Alors il faut exiger que les décideurs fassent au moins l'effort d'essayer l'implantation des distributeurs de produits "Fair trade".

Les Facultés Universitaires F.U.N.D.P. de Namur ont généralisé ces distributeurs. Les autres écoles doivent suivre, et les entreprises aussi, en Belgique et ailleurs!



http://www.madeindignity.be/Public/Page.php?ID=378

Un commerce équitable et solidaire :

* Oxfam-Fairtrade est la marque des produits alimentaires. Oxfam-Fairtrade est la garantie du respect des critères de commerce équitable avec nos partenaires du Sud.

* Oxfam-Made in dignity est la marque pour la déco, la mode et les produits beauty. Oxfam-Made in dignity est la garantie du respect des critères de commerce équitable avec nos partenaires du Sud.

La crédibilité d'Oxfam-Magasins du monde repose sur des échanges soutenus avec nos partenaires ; sur le contrôle d’instances démocratiques et bénévoles ; sur la démarche d’auto-évaluation reconnue par IFAT ; sur la certification extérieure du label Max Havelaar ; sur le respect de la démarche « Vêtements propres » ; sur la transparence d’informations mises à la disposition du public.

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Pour les distributeurs de préservatifs dans les écoles supérieures belges

Parce qu'il est quasi criminel dans les écoles supérieures belges de ne pas mettre systématiquement des distributeurs de préservatifs à la disposition des étudiants !

Aux enseignants qui disent "les étudiants n'ont qu'à les acheter avant de venir à l'école, ou mieux : ne pas baiser à l'école", nous leur répondons que les enseignants, ils n'arrêtent pas de dire : "les étudiants sont désorganisés et ils manquent de prévoyance", et aussi que les enseignants ils n'ont peut-être plus la libido de leur 18 ans! ; ))))

L'absence de distributeur de préservatifs c'est d'autant plus grave que dans certains établissements scolaires par manque de moyens les toilettes sont mixtes : il n'y a aucune séparation, même pas une cloison fine, entre les toilettes pour filles et les toilettes pour garçons!

Alors exigeons un distributeur dans chaque local toilettes, dans un endroit discret, et toujours en ordre de marche et approvisionné comme il se doit bien entendu!



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Exigez de votre employeur la présence d'un défibrillateur sur ou à proximité de votre lieu de travail

http://www.20minutes.fr/article/156576/France-Le-defibrillateur-se-democratise.php

N’importe quel citoyen est désormais habilité à utiliser un défibrillateur pour sauver une vie. Un décret paru au Journal officiel samedi vient de faire cette précision, répondant aux recommandations de l'Académie nationale de médecine, partisane d'une «grande diffusion des défibrillateurs automatisés» (centres commerciaux, pharmacies, aéroports, gares...). Ces appareils permettent au coeur, dans certains cas, de reprendre un rythme normal grâce à l'envoi de chocs électriques.

50.000 morts subites par an

Le taux de survie chez les victimes d'arrêt cardiaque hors milieu hospitalier est inférieur à 3%, note l’Académie. Or, un appel immédiat au Samu, des «manoeuvres simples de réanimation à la portée de tous» et une défibrillation «très précoce» devraient permettre de multiplier ce taux par dix, pour le faire passer à plus de 30%, précise-t-elle.

C’est pourquoi elle préconise la formation «du plus grand nombre de personnes aux premiers secours». Les arrêts cardiaques sont responsables d'environ 50.000 morts subites par an en France, relève cette instance conseillère des pouvoirs publics dans un rapport de février sur la «prise en charge extrahospitalière de l'arrêt cardiocirculatoire».

Attention, «le défibrillateur est à la mort subite ce qu'est l'extincteur pour le feu, il permet d'attendre les secours et non pas de traiter la cause», avertit Jean-Pierre Rifler, chef de service des urgences du Centre hospitalier intercommunal CHI Châtillon - Montbard (Côte d'Or).

«Appeler, masser, défibriller»

Si on est seul, on allume l'appareil, on suit les instructions une fois les électrodes posées et on peut appeler les secours pendant que l'appareil effectue les analyses et décide seul de délivrer le choc, explique l'urgentiste. Si on est deux, l'un peut alerter les secours (15, 18 ou 112) car «le message est simple “appeler, masser, défibriller”», écrit-il. En l'absence de défibrillateur, il convient de masser et d'appeler.

Pour en savoir plus : www.croix-rouge.fr/goto/secours/defibrillateur.pdf

Groupe Facebook "Sauvons des vies : exigez un défibrillateur sur votre lieu de travail"
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